mercredi 21 mars 2018

La disparition de Stephanie Mailer, Joël Dickers - Edition de Fallois





Après votre lecture du nouveau roman de Joël Dicker, la chasse aux œufs de Pâques – qui approche- sera pour vous une simple formalité ! Vous trouverez avant tout le monde les meilleurs chocolats dissimulés dans les cachettes les plus secrètes de votre jardin. Trêve de comparaisons frivoles : « La disparition de Stephanie Mailer » 
est 

ABSOLUMENT


A D D I C I T I F 



Jesse, policier depuis une vingtaine d’années est sur le point de quitter définitivement son travail, lorsqu’une journaliste l’informe que le meurtrier qu’il a accusé il y a vingt ans d’un quadruple meurtre, n’était pas la bonne personne. Interloqué et inquiet, Jesse essaie quelques jours plus tard de la recontacter. En vain... Stéphanie Mailer a mystérieusement disparu. Sa disparition est-elle liée à ses découvertes sur le quadruple meurtre d’un soir de juillet à Orphéa ? Retrouver Stephanie Mailer implique à Jesse et son ancien coéquipier Derek, de renouer avec le passé et d’ouvrir de nouveau une enquête bouclée en 1994.

Des suspects en veux-tu en voilà, des révélations abondantes qui vous obligent à tourner les pages sans vous arrêter, des personnages attachants, une intrigue palpitante... En résumé, vous finissez ce pavé de 600 pages sans même vous en apercevoir. Vous voilà prévenu désormais : si vous commencez ce livre, il vous sera presque impossible de le lâcher. Et dans les rares moments où la vie vous oblige à faire autre chose que lire, votre esprit sera 100% occupé à essayer de résoudre l’enquête : « Mais c’est quoi cette histoire de « Nuit Noire » ? Une malédiction ? Un rite de passage ? Une secte ? Pourquoi Stéphanie a-t-elle disparu ? Et si c’était ce critique, assez particulier, l’auteur des meurtres ? » Puis Dicker vous révèle un truc énorme que votre cerveau n’avait absolument pas prévu. Et du coup, vous, vous lisez sans vous arrêter à bout de souffle. Entre deux prises d’oxygène, vous vous attachez au personnage dont vous découvrez le passé au fil des chapitres.

Le talent de Joël Dicker pour brouiller les pistes sans ennuyer son lecteur est désormais incontestable. Sa plume est intelligente, fluide et, au risque de me répéter, très addictive.

Laissez-vous embarquer dans cette petite ville d’Orphea à vos risques et périls...



3 commentaires:

  1. 300 pages ? Vous avez dû sauter des sacrés passages !

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    1. C'est une simple petite faute de frappe et d'étourderie de ma part :)

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  2. Ouuuuh, je le voulais déjà avant de te lire, mais là... C'est terrible !!!! :D

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